- Témoignage de commissaires UCI0:58
- Maïténa Cessac et Didier Loiseau (Miller)0:58
- Témoignages Formation Néo Pro 20231:08
- Témoignages Formation Néo Pro 20230:59
- Ronan Augé1:50
- Pierre Gautherat et Jordan Labrosse0:47
- Thomas Bonnet0:30
- Victor Lafay1:37
- Mathieu Ladagnous0:56
- Édouard Bonnefoix et Jean Goubert0:54
- Maël Guégan1:50
- Jimmy Turgis0:28
- Alexis Guérin1:26
Le Comportement économique des sportifs
Une étude par l’économie expérimentale
Nicolas EBER
Professeur à l’Université Robert Schuman (Strasbourg 3)
Marc WILLINGER
Professeur à l’Université Montpellier 1
Plusieurs études économétriques récentes menées aux Etats-Unis ont identifié une « prime au sportif » sur le marché du travail : en moyenne, et toutes choses égales par ailleurs, les jeunes Américains ayant pratiqué un sport durant leurs études s’insèrent mieux sur le marché du travail que les non-sportifs (Eber, 2002). L’hypothèse la plus fréquemment avancée pour expliquer la réussite professionnelle des jeunes sportifs est que ces derniers auraient des comportements spécifiques les rendant plus performants. En particulier, ils seraient animés de ce fameux « esprit de compétition » tant recherché par les entreprises et leur permettant de s’imposer dans certaines sphères du marché du travail.
Les sportifs ont une perception plus « compétitive » du jeu, ce qui les conduit à être moins sensibles à l’inégalité entre les deux joueurs, et d’une manière générale, à accepter et intégrer plus facilement leur condition dans le jeu.
Une telle interprétation renvoie à l’idée parfois avancée selon laquelle la pratique apprend aux jeunes à maîtriser leurs émotions et à prendre très rapidement les bonnes décisions dans des contextes émotionnels difficiles (stress, pression, etc…).
Jean-Claude Cucherat
Le Comportement économique des sportifs
Une étude par l’économie expérimentale
Nicolas EBER
Professeur à l’Université Robert Schuman (Strasbourg 3)
Marc WILLINGER
Professeur à l’Université Montpellier 1
Plusieurs études économétriques récentes menées aux Etats-Unis ont identifié une « prime au sportif » sur le marché du travail : en moyenne, et toutes choses égales par ailleurs, les jeunes Américains ayant pratiqué un sport durant leurs études s’insèrent mieux sur le marché du travail que les non-sportifs (Eber, 2002). L’hypothèse la plus fréquemment avancée pour expliquer la réussite professionnelle des jeunes sportifs est que ces derniers auraient des comportements spécifiques les rendant plus performants. En particulier, ils seraient animés de ce fameux « esprit de compétition » tant recherché par les entreprises et leur permettant de s’imposer dans certaines sphères du marché du travail.
Les sportifs ont une perception plus « compétitive » du jeu, ce qui les conduit à être moins sensibles à l’inégalité entre les deux joueurs, et d’une manière générale, à accepter et intégrer plus facilement leur condition dans le jeu.
Une telle interprétation renvoie à l’idée parfois avancée selon laquelle la pratique apprend aux jeunes à maîtriser leurs émotions et à prendre très rapidement les bonnes décisions dans des contextes émotionnels difficiles (stress, pression, etc…).
Jean-Claude Cucherat
2018-2023 : plus de 110 coureurs ont suivi les formations réservées aux néo-professionnels
4ème édition de la journée de réflexion pour les coureurs cyclistes en fin de carrière
Formation Néo Pro de l'UNCP 2023Maïténa Cessac et Didier Loiseau (Miller)
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Interview de Christophe AgnoluttoVoir toutes les vidéos >>